vendredi 7 novembre 2008

La déferlante Obama s'abat sur la planète mode !

Ca y est ! Barack Obama est Président des Etats-Unis d'Amérique ! Un grand moment d'histoire vient d'être écrit. L'Obamania a gagné le monde entier et la planète a vibré lors des résultats des élections.

Lors de la campagne, les marques de soutien n'ont pas manqué, et la mode a profité de ce buzz pour avoir sa part du gâteau... Et elle a eu bien raison, puisque de nombreuses marques ont créé des Tee-shirt à l'effigie du candidat démocrate et ce fut un véritable succès. Tous les people les arboraient fièrement (de Sharon Stone à Eva Longoria en passant par Inès de la Fressange !), incitant ainsi les gens à affirmer à leur tour leurs convictions grâce à la mode. Soutenir Obama a incontestablement été la tendance la plus fashion de l'automne 2008.

Voici donc un petit florilège des tee-shirt Obama

Celui d'Obey a été un véritable carton. Obey est un artiste de rue américain qui a vu sa côte grimper en flèche depuis quelques années. Il a créé plusieurs modèles pour Obama, et ils ont été vu partout ! Spike Lee fait partie de ceux qui ne l'ont pas quitté de la campagne. www.obeygiant.com


Sam Gold, le Roi du jeu, a quant à lui repris sa devise "U can't stop the game" pour l'appliquer au Président "U can't stop Obama". On applaudit car ça lui colle parfaitement à la peau. Un -gros- billet de banque à l'effigie du nouveau Président, bien vu !www.samgold.com


Zadig et Voltaire a également customisé son traditionnel tee-shirt "Tunisien". Un message simple et efficace "Obama". www.zadig-et-voltaire.com


Enfin, sur le site www.yeswecanaroundtheworld.com vous pouvez personnaliser le slogan « Yes We Can » en plusieurs langues (hindou, chinois, arabe, espagnol, russe, coréen, hébreux…) sur un choix varié de tee-shirts. So fashion.

Fée Moda

jeudi 6 novembre 2008

My name is Bond, James Bond

Le british adoré et adopté par les productions et réalisateurs américains



En cette semaine américaine, j'ai décidé de vous parler non pas de Being W de Karl Zero, finalement brouillon, mais du dernier volet de James Bond Quantum of Solace désormais en salle. Le réalisateur Marc Forster rompt définitivement avec la tradition James Bond. Ce nouvel opus se présente comme la suite de Casino Royal. Daniel Craig alias Bond, James Bond cherche à comprendre la trahison de Vesper et venger sa mort. Un tel scénario révèle un  007 humanisé par sa souffrance tant morale que physique. 

Dans les précédents volets, James était beau, invincible, irrésistible. C'est d'ailleurs ce côté super man dandy qui a fait son succès. Il semblerait que nous autres spectateurs attendions davantage de réalisme pour une meilleure et probable identification avec le célèbre héros. Et pour nous offrir une action poignante un tantinet authentique, qui mieux que Daniel Craig, prêt à réaliser lui-même certaines cascades. Alors qu'avant, tout semblait facile, maintenant James Bond transpire, s'écorche et s'épuise. Il parvient toujours à ses fins mais non sans douleurs. Les poursuites filmées tantôt à l'épaule tantôt en travelling alternent plans rapprochés et plans larges sur le rythme effréné d'une course de chevaux. 

Puisque dans chaque James Bond les thèmes sont liés à l'actualité, on n'est pas surpris de voir qu'il est question ici de l'eau à présent plus précieuse que le pétrole. Quantum Solace est un grand James bond qui finit d'installer Daniel Craig dans ce rôle qui lui scier à merveille. Pour les adeptes de Sean Connery, il semblerait qu'ils aient enfin trouvé un acteur digne de prendre la relève, ce n'était pas trop tôt.

Fée Milady

mercredi 5 novembre 2008

Un air new-yorkais

Comédie new-yorkaise de David Schickler

Jacob et Rachel Wolf doivent à un rituel inattendu un mariage exemplaire. Patrick Rigg connaît des habitudes singulières, il ligote des femmes et les oblige à se regarder des heures durant dans un miroir. Léonard Bunce répond, nu sur un palier d’appartement, à des devinettes pour obtenir les faveurs de la désirable Hannah.

Les personnages de David Schickler se croisent dans les rues de l'Upper Est Side, Manhattan ou Greenwich Village avec leurs secrets et leurs déchirures. On partage leur quotidien, on enfile la peau du new-yorkais, on se perd avec lui. Certaines nouvelles sont plus réussies que d'autres. "Le Bain de Jacob" est particulièrement savoureux, l'homme qui parle à son ascenseur très attendrissant. Et alors que l'on pensait les nouvelles indépendantes, un fil se tisse... et déconcerte. Un beau livre américain !

Comédie new-yorkaise de David Schickler, l'Olivier, coll. "petite bibliothèque" 12 euros.
Fée Carabine

mardi 4 novembre 2008

Muffin coco-potiron

Pour une quinzaine de muffins: 125 g de farine, 130 g de purée de potimarron, 50 g de sucre roux, 1 dl de lait, 1/2 sachet de levure, 1 oeuf, 20 g de noix de coco râpée, 15 g d'huile classique (ou d'olive pour ceux qui aime), et 1 pincée de sel.
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Préchauffer le four à 180°. Mélanger les éléments liquides et humides dans le bol du robot ou dans un grand saladier. Soit : potimarron, oeuf, lait, huile. Dans un saladier plus petit, mélanger le reste : farine, sucre, levure, noix de coco, sel. Ajouter le mélange sec au premier et créer ainsi une belle pâte souple et homogène.
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Remplisser votre poche jetable de la pâte et garnissez vos moules à muffins au 3/4. Décorer de noix de coco râpée et enfourné 15 min environ. (si vous n'avez pas de poche à douille, une cuillère à soupe fait l'affaire !)
ASTUCES : Remplacer l'huile de tournesol par de l'huile de noix et le potimarron par de la purée de chataîgne !! mmm c'est tout aussi bon !! A déguster avec un bon thé !
PETITE FEE

Les Muffins de Petite Fée

lundi 3 novembre 2008

T"as voulu voir hambourg on a vu l'hamburger...

Je rêve de faire un saut dans un vrai diner américain et savourer un bon hamburger bien épais et juteux mmmm...Voilà qui change parfois agréablement des messages nutritionnellement corrects que l'on compile à longueur de journée.

Ca vous branche de m'accompagner?
Excusez ma grossierté par avance mais quand je parle d'hamburgers, il n'y a plus d'amitié qui tienne, je ne suis plus maître de mes gestes et je risque de ne pas beaucoup causer.
Quoi vous déclinez l'invitation? Vous me trouvez grossiere? Bon tant pis pour vous, vous ne savez pas ce que vous ratez!



Alors pour moi ce sera un ENORME hamburger saignant avec une double portion de frites bien dorées, et un coca light, histoire de déculpabiliser...

Mon assiette arrive enfin, je vous avoue que je ne la regarde pas très longtemps, place à l'action: j'appuie sur le pain supérieur de la main droite pour applatir un peu le burger et bien repartir la sauce...Là je le prends entre mes deux mains entre pouce et majeur et je cherche l'angle d'attaque...
Il y a toujours un angle par lequel la viande dépasse un peu plus ... et bien c'est par là que qu'il faut attaquer !!! Et là s'enchaîne les bouchées, en alternance avec les gorgées de coca.



Je ne sais pas si c'est pareil pour vous mais j''arrive toujours à garder assez de sauce pour mes frites... sans même calculer ... machinalement !




J'en vient à bout je m'en suis mise partout... Je prends une serviette pour m'essuyer la bouche, le menton, les joues, le nez, les oreilles... mais en essayant de rester discrete et c'est pas évident...en même temps tout le monde est dans le même cas que moi.


Ah je me suis ré-ga-lée! Quand on pense que ce n'est même pas américain!!!!

Vous ne le saviez pas? La recette des hamburgers a été importée sur le sol américain par les marins allemands au cours du XIXe siècle. En effet la ligne maritime "Hamburg-Amerika line" s'était spécialisée dans le transport d'immigrants d'Allemagne et d'Europe de l'est.



A l'époque, on servait fréquemment au cours de la traversée un plat nourrissant typiquement hambourgeois de viande hachée, fromage, oignons mélangés, à ces pauvres voyageurs qui avaient parfois connu la famine, ça vous rappelle quelque chose?


C'est en souvenir de ce premier contact avec une vie meilleure que le sandwich fut créé et nommé ainsi...pour notre plus grand plaisir!

Pour vous aider dans votre quête désespérée pour trouver LE hamburger d'anthologie à Paris, nous vous livrons cette compilation d’adresses:


Scoop 153 rue saint Honoré 75001

Le Floors, 100 rue Myrha 75018

Le coffée Parisien: 4 rue princesse 75006 ou 7 rue gustave courbet 75116

Breakfast in América 4 rue Mahler 75004 Paris, 17 rue des écoles 75005

PDG 5 rue dragon 75006

Joe Allen, 30 Rue Pierre Lescot, 75001 Paris

McCoy Café 49 Avenue Bosquet 75007 - Paris

Tropical Café 5, Place Parmentier 92200 - Neuilly-sur-Seine


Fée Mariposa