samedi 31 janvier 2009

Avant le street art, l'art de la rue...

Nous le savons, grosso modo le street art, comme mouvement artistique, est né avec l’apparition du graffiti hip-hop aux Etats-Unis dans les années 1970.
Je n’apprendrai rien en disant que les manifestations artistiques – par "artistique", je veux dire avec une volonté d’interpeller, d’amuser, de choquer le passant – existent depuis qu’il y a des rues.

Dans l’Antiquité, les murs étaient un moyen d’expression populaire qui, à la manière d’un graffiti d’aujourd’hui, se moquait ouvertement des pouvoirs en place, des habitants d’un quartier, colportait un ragot, carillonnait une bonne fortune, bref, proclamait la liberté d’expression par le geste même d’écrire. Pensons à l’excellent générique de la série américaine Rome (HBO), où la ville devient vivante sous nos yeux par les inscriptions qui désacralisent les monuments que nous visitons maintenant avec déférence.
Les murs de Pompéi sont un exemple extraordinaire. Les latinistes apprécieront ces vers inscrits sur une paroi déjà bien barbouillée :

Admiror o paries te non cecidisse ruinis
qui tot scriptorum taedia sustineas

« Je m’étonne, ô mur, que tu ne te sois pas effondré,
toi qui es chargé autant d’infâmes inscriptions. »

On peut y voir des esclaves dénoncer les travers de leurs maîtres, des amoureux noter la date de leur rendez-vous, des prostituées vanter leurs mérites, …et même des poètes en herbe offrir au public la primeur de leur talent.

Comme l’a dit Étoile Maï, l’art de la rue n’est pas uniquement graphique. Les petites troupes qui montaient les pièces de Molière sous un dais branlant au XVIIe (j’avoue, je pense surtout aux scènes du Capitaine Fracasse, le roman de Gautier) ; les libellistes qui distribuaient leurs tracts satiriques contre Mazarin ; les saltimbanques et petits chanteurs qui se donnaient en spectacle dans un coin, au XIXe … Le street art n’était-il pas plus vivant, plus fécond, plus libre ?
Etoile Clio

Un art de rue pas comme les autres

Une forme d'art connue de tous, mais peu rencontrée, est le sexe dans la rue. Oui, faire l'amour est un art! Et tout le monde peut devenir un artiste de rue à un moment ou un autre. L'intérêt est de constater que cet art est en perpétuel renouvellement, toujours différent d'un couple à l'autre. Pour les néophytes sur le sujet, voici quelques exemples d'endroits où mettre en oeuvre ses talents. Le classique, indémodable, est de s'y adonner dans une petite rue cachée. Les plus téméraires verront le capot d'une voiture comme nouveau support; alors que les plus timides peuvent avoir ce sentiment, compréhensible, de vouloir se cacher dans le hall d'un immeuble. Mais cet art reste, finalement, assez discret sous peine de se faire passer pour un exhibitionniste. La loi est toujours contre les artistes.

Un seul point commun entre ces artistes: l'adrénaline. La peur de se faire prendre en pleine création entraine, certes une excitation extrême, mais surtout des gestes maladroits et brutaux... Alors ce n'est certainement pas la meilleure expérience possible mais, au moins ,elle reste dans les annales - sans mauvais jeu de mots! Il ne reste plus qu'à s'exercer afin de créer son chef-d'oeuvre.

Le phénomène Twilight

Notre Fée Milady nous parle du phénomène Twilight sur le site savemybrain.net. Voici le lien direct pour lire l'article consacré à cette histoire de vampire glamour qui connaît un succès retentissant, tant en librairie qu'au cinéma.
  

vendredi 30 janvier 2009

jeudi 29 janvier 2009

Oyez,oyez, une annonce pour vous

Société de production TV recherche filles de 18 à 35 ans pour un jeu de dating pour NT1 (chaîne de la TNT).

Si ça vous tente et que vous voulez en savoir plus, merci de contacter Olivier au : 01 53 68 44 16

mercredi 28 janvier 2009

Sacha Goldberger fait du Street Art !?!

Ah, quand on aime... Difficile de résister à la tentation de vous donner des news d'un de mes photographes préférés dont je vous ai parlé pendant la semaine décalée en septembre dernier. Voici le lien direct vers l'article qui lui ait consacré. Si on la joue terre à terre, genre 1er degré, Sacha Goldberger ferait dans le Sreet Art. Et du coup, ce serait bien l'occasion de vous montrer ses dernières parutions dans Wad. Tout simplement caustique!
 
 
 Fée Milady

mardi 27 janvier 2009

Interview Street Art : Steve de BLKmarket By Seen


Steve est l'agent de Seen, reconnu comme le Godfather du graffiti. Aujourd'hui, Steve livre exclusivement aux Fées en ville son regard sur le Street Art...et nous parle de sa rencontre et de sa collaboration avec Seen. Retrouvez-les sur leur site BLKmarket by SEEN


Voici les liens vers les sites des artistes dont nous parle Steve:




Fée Milady

lundi 26 janvier 2009

CHAWARMA TROP BON !

Ingrédients : 2 pains pita, 120 g de viande émincée (poulet veau ou dinde, revenu dans une c/s d'huile d'olive et relevée par 1 c/c de curry en poudre) une belle poignée de salade mélangée (roquette, mâche, trévise), pareil pour le choux blanc, un oignon rose émincé fin, une tomate coupée en petit cube, de la ciboulette sel et poivre, et un filet d'huile d'olive.
***
Maintenant, fourrez votre pain pita réchauffé préalablement au four ou au micro-ondes et dégustez !!
BON APPETIT AVEC
PETITE FEE

Le Chawarma de Petite Fée

Semaine Street Art

Cette semaine, Fées en ville font leur Street Art. 
Petite Fée nous séduira avec son chawarma au chou blanc. 
Milady fera l'interview de Steve, l'agent d'un géant du Graffiti, Seen. 
Maï mènera l'enquête sur les diverses possibilités de faire l'amour dans la rue.
Clio nous replongera dans l'Histoire pour nous révéler l'ancêtre du Street Art. 
Moda nous parlera du Graffiti, un art qu'elle apprécie. 
Quant à Carabine, elle nous réserve une surprise!!

dimanche 25 janvier 2009

Nocturnes au Grand Palais pour Picasso

 Picasso et les Maîtres au Grand Palais à Paris connaît un tel succès que la Rmn organise des nocturnes. A partir du 30 janvier prochain 9h jusqu'au 2 février 20h (fermeture définitive), l'exposition ouvrira ses portes 24/24. RDV sur le site de Rmn où vous pourrez acheter vos billets directement.
Pour lire l'article consacré à l'expo cliquez ici
 Fée Milady

Nojoud Ali, une yéménite de 10 ans divorce

Nojoud Ali accompagnée de son avocate Chadha Nasser

 
Nojoud Ali a 11 ans et vient de divorcer. Elle est la première yéménite à avoir osé refuser de se soumettre aux traditions de son pays. En collaboration avec la journaliste Delphine Minoui du Figaro, elle a témoigné dans son livre Moi, Nojoud, 10 ans divorcé qui sortira le 28 janvier aux éditions Michel Lafon. En attendant, Nojoud est déjà une héroïne. Son combat est un modèle pour les droits de la femme dans le monde. Elle rencontrera cette semaine en privé Rama Yade (secrétaire d'État chargée des Affaires Étrangères), Nadine Morano (secrétaire d'État chargée à la famille), Fadela Amara (secrétaire d'État chargée des Affaires de la politique de la ville), et Valérie Létard (secrétaire d'État chargée de la Solidarité). 


Fée Milady