samedi 2 août 2008
Mama Pizza
Je me présente, je suis le Vieux Mage
Il s’est souvenu des images, d’une autre époque de sa vie
Il s’est dit que c’était dommage, que ces chansons étaient jolies,
Sans prétentions et sans messages, juste des chansons de la vie.
Et pour ne pas tourner la page, c’est pourquoi il les écrit
Le Mage, sage comme une Image.
vendredi 1 août 2008
La classe à l'italienne : mythe ou réalité ?

Ce que j'aime...
- les marques de luxe bien sûr : prada, gucci, versace, valentino, armani... et autres noms finissant par des voyelles qui nous offrent des défilés à couper le souffle. La fashion week de Milan reste un des mes grands rêves...
- les voitures et scooters : la Fiat500, les alpha roméo, les Vespa...
- les prénoms italiens : Raphaëllo, Angelo, Antonio mmmm
- la cuisine bien sûr ! Pâtes, Pizza, Panini, et surtout les petits sandwichs triangles qu'on appelle Tramezzo je crois (un grand moment de gastronomie)
- la langue : chantante et si sexy, mais aussi la manière dont ils parlent avec leurs mains Ma que Bella !
Par contre je n'aime pas :
- le rap italien : tout simplement ridicule !
- les présentatrices tv : des bimbos qui donnent un sérieux coup à l'image de la femme
- ils parlent trop fort !!!
- Berlusconi : no comment...
Enfin, je reste mitigée sur...
- Monica Bellucci : elle a beau être considérée comme la plus belle femme du monde, son côté femme fatale m'irrite un peu
- l'équipe de foot : ils sont forts, beaux, mais ils nous ont battu et mis notre Zizou au placard !
- la mafia : les films de Scorsese ont fait des mafieux des hommes excitants, mais bon...
Bilan
Les "pour" l'emportent malgré tout ! Forza Italia !
Et vous, qu'est-ce que vous aimez (ou n'aimez pas !) chez les transalpins ?
Fée Moda

jeudi 31 juillet 2008
L'art de boire un café à l'italienne
mercredi 30 juillet 2008
De l’art et la manière de gouverner

Du Prince de l’italien Nicolas Machiavel, nous ne connaissons que les mots qui en sont dérivés : le machiavélisme et machiavélique. Nous en concluons qu’il s’agit d’un traité politique particulièrement démoniaque.
Nicolas Machiavel doit certainement cette réputation à sa définition de la nécessité (necessità). S’imposant au prince, et le contraignant à manquer aux injonctions de la morale, elle a fait de Machiavel, quelque peu hâtivement, le père de la « raison d’État », soit le principe selon lequel le pouvoir politique s’autorise à déroger au droit établi ou à la morale. Pour un prince, pour obtenir et conserver le pouvoir, qu’importent les moyens si les fins sont justes ou devrais-je dire « nécessaires ». Le traité de Machiavel à l’usage des jeunes princes, vite censuré d’ailleurs, n’hésite pas à mettre la vertu au second plan. Le prince machiavélien se trouve souvent dans la nécessité de se montrer déloyal, inhumain… Dès le chapitre III, l’auteur explique l’impossibilité pour le prince nouveau de ne pas offenser ses sujets, la cruauté ou la déloyauté reposent sur l’exigence d’efficacité politique ou l’inclination naturelle de l’homme. Si Machiavel préfère partir d’une « réalité effective » plutôt que de ce qu’elle devrait idéalement être, sa politique paraît particulièrement cynique. Certaines questions se posent alors, la politique est-elle régit par des lois que nous ignorons ? La nécessité s’imposerait-elle à notre président lorsqu’il décide, envers et contre tous, d’assister au JO de Pékin ?
Le Prince de Nicolas Machiavel. "Folio classique" n°1113.
mardi 29 juillet 2008
Pasta Rucola et Pancetta
lundi 28 juillet 2008
L'élégance féminine par Valentino

Rose est la robe longue qui attire d’emblée le regard. Sa ligne est prononcée par une traîne qui jonche le sol. Le court manteau graphique contraste en volume. Travaillé en spirales de feuilletés d’organza, il semble être tissé par une multitude de pétales de rose. Ici, la beauté classique s’excuse devant le sublime de cette pièce haute couture de la collection Automne/Hiver 2007-2008 signée Valentino.
Cet hiver, l’ambassadeur de l’élégance féminine vient de tirer sa révérence. Et l’exposition intitulée Valentino, Thèmes et Variations a des allures de rétrospective. Au Musée des Arts Décoratifs, les modèles phares de chaque saison du couturier italien affichent la « grâce souveraine » selon Valentino depuis ses débuts en 1959. A la façon d’un exercice de style, il a su, au cours de sa carrière, revisiter la mode.
Les couleurs sont une empreinte à part entière. On parle du célèbre « rouge Valentino », ce rouge coquelicot pétillant de caractère. Jacky Kennedy choisit sa robe de mariée parmi la collection blanche Printemps/Eté 1968. Depuis 1964, elle ne s’habille exclusivement qu’en Valentino. Et elle n’est pas la seule à être conquise pas ces lignes de sirènes aux airs de princesses du sang. Elisabeth Taylor, Rita Hayworth, Audrey Hepburm pour n’en citer que trois tombent sous le charme de ce style unique. Un classicisme romantique modernisé par des formes graphiques et figuratives.
L’exposition Valentino, Thèmes et Variations se rêve en 225 robes. On perçoit à peine la marque des époques sur les modèles tant le maestro a créé un style intemporel. Un luxe moderne d’une élégance noble. Le visiteur admire dans un silence religieux ces chefs d'oeuvres de la haute couture italienne.
Jusqu'au 21 septembre
Valentino, Thèmes et Variations, Musée des Arts Décoratifs, 107, rue de Rivoli, 75001, Métro Palais-Royal Ouverts du mardi au vendredi de 11h à 18h et de 10h à 18h le samedi et le dimanche, nocturne jusqu'à 21h le jeudi 8 euros l'entrée
Fée Milady