mardi 29 septembre 2009

Rose Guita, créatrice de bijoux

Diadème Jade

Sautoir Jade


En cette rentrée, les fées vous font découvrir une jeune créatrice de bijoux féminins et délicats. Rose Guita revisite les codes antiques, anciens régimes et contemporains avec ses collections Soirée Nubienne, La Pombadour ou encore Belle de Jour. Assortiment de chaînes fines, perles de culture, camées et pompons sont autant de matériaux avec lesquels la créatrice se plaît à travailler.
Sautoir Élise

Avec ses diadèmes et ses sautoirs, Rose Guita redore le blason de la féminité. Chaque bijoux porte un prénom, comme une identité propre qu'il lui inspire. Le sautoir Sarah et le Diadème Jade sont les modèles phares de cette saison.

Découvrez la boutique en ligne Rose Guita sur www.roseguita.bigcartel.com

Sautoir Sarah

Fée Milady 

dimanche 9 août 2009

REPOS, FRUITS ET LEGUMES !!

Bonjour mes chères gourmandes et gourmands, Petite Fée a pris quelques semaines pour travailler en cuisine ! Ce n'est plus un secret, Petite Fée se déplace pour jouer les chefs à domicile pour le plus grand bonheur des maîtres de maison devenus invités à leur propre table ! Aussi un petit mot pour vous dire que je reviendrai vite à la rentrée avec de nouvelles recettes, toujours aussi faciles, inventives et délicieuses ! A très vite ! Bonnes vacances.
PETITE FEE

dimanche 26 avril 2009

L'objet culte des fashionistas : le 2.55 de Chanel


S'il y a bien UN objet culte pour lequel toute les fans de mode se damneraient, c'est le sac 2.55 de Chanel. Classique, indémodable, chic... il est l'indispensable accessoire d'une garde-robe de fashionista. Pour autant qu'on puisse en mettre le prix. Mais j'en connais plus d'une qui serait prête à liquider son livret A pour cette absolue merveille.
Et puis soyons pragmatique, en investissant dans ce sac, on a plus besoin de rien. Il habille à lui seul toutes (je dis bien toutes) les tenues. Une vieillerie H&M, une robe de soirée, un jean..le 2.55 est donc une véritable source d'économies! CQFD.

Fée Moda

dimanche 19 avril 2009

Mille Feuilles de fraises

Puisque vous partez en voyage…

Assez d’attendre votre valise au tapis roulant de l’aéroport et de la confondre avec toutes les autres?

La marque jump propose de personnaliser sa valise, pour qu’elle devienne unique. Elles sont belles, design, et vous aurez enfin une valise qui vous ressemble.
Le site est ludique et très facile d’utilisation. En quelques clics, vous avez une valise personnalisée qui vous accompagnera dans tous vos voyages. Et pour ceux qui ne se sentent pas une âme d’artiste, il y a des modèles déjà fait, sur lesquels vous allez craquer!


Je partirais bien en vacances moi…

http://www.mydotdrops.com/
de 140 à 220 euros

Fée Moda

samedi 18 avril 2009

De bien longues vacances...

Clio’s back ! Les lecteurs lui pardonneront, j’espère, sa longue absence, pendant laquelle Fée Clio s’est mariée, s’est remise de son mariage, et s’est préparé à mener une vie exemplaire d’épouse. Et l’exemple commence par une promesse : celle de se plier à une discipline de fer pour écrire régulièrement dans Fées en ville! En bref, quand vous êtes en vacances, Clio ne l’est plus.

Les vacances, c’est bien, c’est sympathique. Pour prendre le contre-pied, je voudrais parler de quelqu'un qui s'est vu imposer des vacances, quelqu'un qui est allé sur une île paradisiaque, bordée de plages chatoyantes, couverte d’arbousiers ployant sous leurs fruits et de forêts ombrageuses où courent d’étranges et jolis animaux exotiques, et en plus il n’était pas content !
Non, je ne parle pas de Jack Shephard et des autres naufragés de Lost, ni des sérieux héros de L’Île mystérieuse, ni de Gulliver, ni même de Robinson Crusoë, mais de leur maître à tous, le bien réel Alexander Selkirk (1676-1721), dont l’abandon sur l’île Juan-Fernandez, au large de Valparaiso, fut un des faits divers les plus féconds pour le roman et la pensée modernes.

Selkirk était un marin écossais, au tempérament sauvage, dont on aimerait bien faire l’égal du canadien Ned Land de Vingt mille lieues sous les mers – tant l’histoire de Selkirk a été après coup imprégnée de littérature, qu’on a du mal à raconter sa vie sans avoir la tête farcie de nos lectures d’enfance ! Fils d’un cordonnier de Lower Largo, engagé très jeune dans la marine, comme bien d’autres garnements de la région côtière des Fife, il s’est rapidement fait connaître pour sa grande capacité à se mettre en colère, en particulier contre ses supérieurs. Il participait à une expédition corsaire contre des navires espagnols au large du Chili, lorsque le navire dut s’arrêter sur une île inconnue pour réparer les dégâts causés par des vers rongeurs. Le mécontentement qui couvait en Selkirk – lequel avait déjà tenté de provoquer des mutineries au cours du voyage – éclata à ce moment. Les choses tournant mal, il exigea d’être laissé sur l’île. Bravade ? Inconscience ? Habileté d’un homme qui pouvait craindre d’être jeté aux fers pour rébellion ? Quoi qu’il en soit, le navire partit et Alexander Selkirk resta.
Il fit bien d’ailleurs. Comme il l’avait imaginé, le bâtiment ne résista pas aux vers et sombra peu après, entraînant la mort d’une partie de l’équipage. Je ne m’étendrai pas sur la vie de l’abandonné sur l’île – Edward Cooke, Richard Steel, Daniel Defoe l’ont décrite abondamment. Juste une chose : il n’y avait nul Vendredi pour adoucir sa solitude ou lui enseigner « la vie sauvage ». Selkirk vécut totalement seul pendant plus de quatre ans, élevant des chèvres, plantant des pruniers, lisant et relisant la Bible qu’on lui avait laissée. Et lorsqu’il fut rapatrié, à l’instar du héros de L’île du Docteur Moreau, il ne réussit pas à retrouver la place naturelle de l’homme en société, malgré la richesse qu’il avait acquise par des expéditions fructueuses. Il reprit la mer et mourut de la fièvre. Peut-être ses derniers instants furent-ils hantés par ce moment terrible et fascinant où Selkirk se retrouva face à lui-même sur une île où rien n’était fait pour l’homme…
« Je commençai à regarder à l’entour de moi, pour voir en quelle sorte de lieu j’étais, et ce que j’avais à faire. Je sentis bientôt mon contentement diminuer, et qu’en un mot ma délivrance était affreuse, car j’étais trempé et n’avais pas de vêtements pour me changer, ni rien à manger ou à boire pour me réconforter. Je n’avais non plus d’autre perspective que celle de mourir de faim ou d’être dévoré par les bêtes féroces… Aussi tombai-je dans une si terrible désolation d’esprit, que pendant quelque temps je courus ça et là comme un insensé… »

jeudi 16 avril 2009

Vous avez dit " vacances de luxe abordables"?

Quoi de plus propice qu'un petit week end en amoureux à Florence ou une escapade romantique à Barcelone pour se perfectionner en matière de câlins? Certes, il n'y a pas que le sexe dans la vie et l'aspect culture est indéniable (sinon autant rester chez soi!). Mais entre deux musées et une balade dans le centre historique de la ville, une partie de jambes en l'air ne fait de mal à personne!

Que ce soit pour un week end ou des vacances, un site de la mort qui tue est absolument à voir: voyages-prive.com. Le concept est simplissime. Vous y trouvez des hôtels de luxe aux quatre coins du monde pour des prix très compétitifs. Une sélection est faite à la base et vous pouvez partir en deux temps trois mouvements à l'autre bout de la planète, ou tout simplement en Provence. Ce site permet de faire de très intéressantes économies: moins 66% pour un week end dans un cinq étoiles à Lisbonne ou encore moins 52% pour une semaine à Antalya dans un quatre étoiles. Pourquoi refuser...?

Passé la logistique et toute l'organisation - facilitée grâce à ce site - les vacances en couple riment généralement avec paradis. Mais elles peuvent tourner au vinaigre aussi sec notamment pour les jeunes couples. Partir pour la première fois ensemble implique plus de concessions qu'à l'accoutumée. Alors que l'un veut faire du shopping, l'autre tient à marcher neuf heures pour tout visiter; ou quand madame veut aller au restaurant, monsieur préfère le pique nique sur la plage... quels choix cornéliens!! Mais ces futilités entraînent malheureusement des tensions qui peuvent gâcher les vacances... 

Alors même si les préparatifs sont agréables et que les bons plans existent, soyez déjà bien sûr de la personne avec qui vous partez!

mercredi 15 avril 2009

Marc Riboud, le photographe de l'instant

Cette photographie montrant un homme en train de peindre la Tour Eiffel est signée Marc Ribout. 


C'est en 1953 qu'elle paraît dans le célèbre magazine Life et devient une sorte de carte de visite pour Marc Riboud. Photographe repoter, il a sillonné le monde à la recherche de l'humanité et du cocasse qu'il y a dans les situations les plus banales.  Quand il ne s'agit pas de reportage de guerre, l'esthétique passe d'abord chez Marc Riboud par l'humour décalé. 


Le musée de la Vie Romantique présente jusqu'au 26 juillet prochain plus de 110 photographies pour la plupart "vintages" qui retracent un itinéraire, à la façon d'un récit de voyage, drôle et émouvant. De Fès à Angkor en passant par Acapulco, Tokyo et encore bien d'autres contrées, Marc Riboud capture l'instant singulier qui, à la fois touche et fascine. 


C'est aussi l'occasion de découvrir le Musée de la Vie Romantique, cet havre de paix où le peintre Ary Scheffer vécut.


Hôtel Scheffer-Renan

16, rue Chaptal

75009 Paris

Tél: 01 55 31 95 67


Fée Milady

lundi 13 avril 2009

Cake à l'anglaise aux bons fruits confits

Semaine en voyage

Cette semaine, les Fées en ville partent en voyage. Avril leur donne des ailes et pour l'occasion, elles vous embarquent dans leurs valises, ça vous tente ?

vendredi 3 avril 2009

C'est le printemps!!!

Le beau temps revient, les arbres sont en fleur, les oiseaux gazouillent et les corps se dénudent. Oui, bande de petits obsédés, c'est aussi, si ce n'est l'une des principales raisons qui nous fait aimer cette saison.


Qu'il est agréable de se décharger de quelques kilos de vêtements pour le bonheur de tous! Certes les hommes en profitent plus que les femmes car, petites dévergondées que nous sommes, la gente féminine sort ses plus beaux atouts au moindre degré celsius en plus sur le baromètre. 


Comme régulièrement en cette période, à la terrasse d'un café, vous regardez les gens passer. Le nez au vent et lunettes de soleil par dessus, il reste confortable et pas désagréable à l'oeil de voir passer les garçons (on parlera des filles une autre fois...). N'est-ce pas sympathique de reluquer un joli corps savamment musclé sous un t-shirt à peine moulant; le jean se fait plus proche de la fesse, laissant négligemment dépasser un bout de caleçon à la vue de toutes, et de tous (il en faut pour tout le monde!). Parfois même, le t-shirt valse (c'est interdit sur la voie publique mais on s'en fiche!) au profit d'un torse taillé dans le marbre. Je m'embal
le un peu... La goutte de sueur qui coule en ce moment le long de votre tempe n'est peut-être pas due à la température extérieure, non?

mardi 31 mars 2009

Semaine Printanière

Voici le printemps que l'on attendait tous. Nous avons changé d'heure, les arbres bourgeonnent, les cerisiers sont en fleurs, les oiseaux chantent, et les Fées en ville ont le coeur en fête. En cette semaine printanière, les fées vous feront partager leur légèreté.

dimanche 29 mars 2009

La littérature érotique

Les livres, dits du genre érotique, sont comme tous les autres de son espèce: pour tout type de public, ou presque, et il en existe pour tous les goûts. La petite nuance, notable, est qu'ils ne provoquent pas les mêmes effets sur notre anatomie.

Pour les intellectuels, Sexus de Henry Miller est superbement écrit, à la fois cru et poétique. Toujours dans la poésie, les romantiques apprécieront les sous entendus érotiques, parfois bien entendus, d'un Rimbaud ou de son acolyte Verlaine. Passons du côté obscur de la force avec la collection Arlequin. Je ne lui reproche pas grand chose excepté son côté cul-cul la praline. Pour faire dans le cliché, à l'image des romans sortis tout droit de la collection, ce genre d'écriture correspond à la ménagère de moins de 50 ans.


Enfin les historiens ne sont pas en reste, ils ont même le précurseur à leurs côtés: Sade. Brève entrée dans mon intimité: je suis historienne de formation (même si tout laisse à penser le contraire étant donné ma rubrique...) et je vais m'attarder sur une auteur très peu connue, voire inconnue il faut le dire, de romans érotico-pornographiques du début du XIXè siècle: Félicité de Choiseul-Meuse. Elle est l'une des rares femmes à écrire sur ce sujet à l'époque où Sade rayonne. Je l'avoue elle m'a fait ronger mon frein dans les salles tamisées de la BNF! Oui, ses romans tels que Julie, ou j'ai sauvé ma rose, ou Amélie de Saint Far, sont des petits bijoux qui ont dû en inspirer plus d'un sous le manteau! Il faut le reconnaître, ses romans ont un petit côté Arlequin mais l'aspect XIXè leur donne tout leur charme. Le langage est imagé, voire lyrique, mais tous les sujets sont abordés: l'homosexualité féminine, les préliminaires, la frustration, les interdits... et l'acte en lui-même bien sûr. Se créé alors un décalage entre les thèmes abordés et les mots employés pour les décrire. C'est assez drôle. Les métaphores « la colonne enflammée », ou « les boutons de rose » parlent d'elles-mêmes. Pareil, les personnages « meurent » au moment de l'orgasme... La fréquence des scènes à caractère pornographique a l'effet désiré. Garanti. Au fond, ces romans laissent à penser, qu'aujourd'hui, nous n'avons rien inventé.

Fashion game book - Histoire de la mode du XXe siècle

Marre de faire la grimace quand on vous parle du 2.55 ou de la dernière paire de Manolo? Envie de pouvoir dire fièrement « Je préfère le mauvais goût à l’absence totale de goût » en citant John Galliano?

Ce livre est l’encyclopédie de la mode qu’il vous faut. Il retrace l’évolution de la mode française et étrangère durant le XXème siècle: biographies de créateurs, histoires des grandes maisons et quizz de remise à niveau…bref, vous saurez tout.

Fashion game book - Histoire de la mode du XXe siècle de Florence Müller, éd. Assouline, 368 pages, 30 euros

Fée Moda

mercredi 25 mars 2009

Le Salon du livre et son invité d’honneur

Cette année, l’invité d’honneur du salon du livre était le Mexique. En matière d’édition, ce pays a toujours été un état précurseur au sein de l’Amérique du Sud. Dès le XVIe siècle, les premiers livres européens y trouvèrent asile. A partir de 1539, des éditeurs français, italiens et allemands s’installent au Mexique pour proposer des traductions des ouvrages publiés en Europe.

Rapidement, d’un simple travail de traducteur, ces maisons vont s’orienter vers l'édition d'une création locale. Mais il est intéressant de garder à l’esprit que les premiers livres de philosophie de culture européenne à être publiés hors du continent européen le seront au Mexique. Le pays voit l’apparition d’un véritable marché du livre. Pour qu’il en soit de même chez ses voisins, il faudra attendre jusqu’au XIXe siècle.

Je dois avouer que je ne connais pas très bien la littérature mexicaine mais notre prix Pulitzer, J.M.G Le Clezio, a écrit un ouvrage sur la relation amoureuse qu'entretenait la peintre mexicaine Frida Kalho avec Diego Rivera, muraliste tout aussi célèbre. Lorsque Frida annonce son intention d'épouser Diego, son père a ce commentaire acide : « Ce seront les noces d'un éléphant et d'une colombe. » Personne ne croit à cette union qui s’exprime et se détruit par la peinture. Le Clézio s’éloigne vite du genre bibliographique et raconte des vies, follement romanesques, et nous emporte. Le Mexique des années 1930, la révolution jouent des rôles tout aussi importants. Il s’agit vraiment d’un livre magnifique !

Diego et Frida, J-M-G Le Clezio, folio, environ 5 euros.

Fée Carabine.

mardi 24 mars 2009

La Fondation Martin Bodmer: le temple du livre


Le livre a son temple. La Fondation Martin Bodmer se situe à Cologny près de Genève. A travers la bibliothèque et le musée, on découvre l’empreinte visible laissée par le collectionneur suisse Martin Bodmer (1899-1971) : un itinéraire intellectuel et spirituel de l’homme raconté par les témoignages de l’écrit. L’histoire du livre intrinsèquement liée à l’histoire anthropologique est ainsi dévoilée avec des pièces inestimables : 

Tablette cunéiforme

L’histoire de l’écriture d’abord est représentée avec des tablettes cunéiformes, des rouleaux égyptiens, des inscriptions ou des monnaies grecques et romaines, des manuscrits médiévaux, des exemples des écritures hébraïque, arabe, indienne, et chinoise.

Bible de Gutenberg

L’histoire de l’imprimerie se raconte avec un exemplaire unique de la Bible à 42 lignes de Gutenberg qui date de 1454. A chaque période, Renaissance, Réforme, Humanisme, Lumières ou encore Romantismes, l’histoire du livre révèle le rôle vectoriel que joue l’écriture dans la société. Véhiculeur d’idées, elle apparait comme le moteur de toute civilisation en marche.


Bientôt émerge au XIXe siècle, le métier d’éditeur, et avec le phénomène de l’édition littéraire.
L’histoire littéraire est présentée à travers les textes écrits de la main de l’auteur, des premières épreuves corrigées. Il semble que l’on pénètre dans l’intimité propre de l’écrivain, à ce moment intense de création où tout est clair et à la fois confus ; coucher sur papier le fruit immatériel de sa pensée.
Franz Kafka

Toujours replacé dans son contexte historique et social, le livre est le témoin de l’écriture et de l’évolution des idées. Comprendre l’Homme, c’est sûrement regarder de plus près comment il a appris à écrire et à se servir de cet outil qui pérennise sa pensée en constante évolution.

Fée Milady

dimanche 22 mars 2009

Semaine du livre

Les Fées en ville jouent les retardataires avec le Salon du livre 2009. Elles célèbrent le livre, cet objet fascinant pour les uns et terrifiant pour les autres. Quand certains l'associent à la détente, l'évasion, le savoir, d'autres n'y voit qu'ennui. Est-ce que les Fées perceront le mystère et vous feront aimer les livres? Bonne semaine livresque...

dimanche 15 mars 2009

J’aime cet homme


Ceci n’est pas une blague. Non, cet homme n’est pas un clown dont j’ai envie de me moquer. Il s’agit du grand Alber Elbaz, le directeur artistique de la maison Lanvin. Il m’a émue aux larmes à plus d’une reprise. Et dernièrement, lors de son défilé, lorsqu’il est venu saluer la foule, debout, qui l’acclamait.

Alber Elbaz a ce quelque chose de touchant qui fait craquer les femmes. Mais surtout, il les connaît, et les comprend. Quand on admire ses collections, on s’imagine dans chaque vêtement qu’il a crée. C’est comme un évidence. Les coupes, les matières, les couleurs. Mmmmm. Que du bonheur. De l’allure brute.

Il est pas mignon avec son gros noeud papillon?

Pour voir le défilé, c’est par ici!

Fée Moda